Taverne

Le jeune et futur empeureur Tarnist arriva dans l'auberge, il allat vers le bar et resta quelques minutes assis à scruter la salle, pour voir si il n'y avait pas de visage connu. Puis il remarqua l'homme encapuchoné assis au fond de la taverne, Tarnist commenda une biere et alla vers l'étranger

Bonjour l'ami, ma compagnie vous dérange-t-elle? Si non, je serai heureux de passer un moment avec vous, je ne vous ai jamais vu dans les environs.

Titus observa l'homme du coin de l'oeil. Son air lui inspira tout de suite confiance et il remarqua qu'il devait etre de noble naissance tout comme lui.

Il invita donc l'homme a boire une bière en sa compagnie. Pres a engager la conversation, Titus demanda de sa jeune voix :

- La responsabilité de tes villas ne te préocuppent pas de trop ? Les querelles incésantes entre hommes n'ont que trop duré. Qu'en penses tu, noble ami ?

Tarnist regarda l'homme droit dans les yeux, il sentait émmaner de lui une noblesse, dissimulée par ses vetements

Et bien, je n'ai pris possessions de mon modeste domaine depuis peu, mon vénérable père étant décédé des suite d'une maladie, il est vrai que je n'ai aps encore eu beaucoup de contact avec mes voisins... Mais au fait quel est ton nom, dans toute rencontre entre homme civilisés il faut se présenter, je me nomme Tarnist.

- Mon prénom est Titus. Mais le nom importe peu. Seule l'amitié que tu me porteras te montreras digne de connaitre le nom de ma famille. Je peux juste te dire que je suis né, tout comme toi, d'une illustre famille aristocratique.

Sur ce, Titus invita son compagnon à reprendre une chope de bière et ils burent tout deux à leur nouvellle amitié.

- Je ne crois pas me tromper en affirmant que tu as recu une bonne éducation. N'est-il pas vrai que dans ton enfance tu fus l'éleve d'un quelconque penseur grec ?

Shorinji, entre à son tour dans l'auberge. Son vieil uniforme de la légion tout déchiré lui donne l'air d'un gueux. Arrivé au milieu de la pièce il s'écri
-Tavernier! Sers m'en un et que ca saute!
Il se tourne alors vers Titus et Tarnist pour leur lancer un regard foudroyant. Il balaye alors du regard le reste de l'auberge puis se dirige vers une table libre en marmonnant des choses incomprhéensibles. Il s'asseoit tandis que le tavernier lui apporte son verre, puis commence à boire l'air perdu dans ses pensées.[/i]

Tarnist regarde le rustre du coin de l'œuil, puis détourne son regard, les ivrognes ne l'interesse pas.

Tes paroles sont pleines de sens, ami, et prouve ta perspicacité. En effet, je fut l'élève d'un vieux grec, qui, la fin de sa vie arrivée, m'avait enseigner tout ce que je sais aujourd'hui. Toutefois il ne m'a jamais fait l'honneur de pouvoir le nommé, le seul nom que je lui connaissait était "maître", et il emporta le secret de son nom dans la tombe.
Mais dit moi, sans mentir, qui t'a appris à dicerner ses choses, celles que tu arrive à lire sur les traits d'un parfait inconnu comme tu le fait avec moi?

Titus se renfrogna. Il n'aimait pas devoiler sa vie et encore moins son enfance. Jugeant du regard son ami, il décida de lui accorder sa confiance.


Comme tu as pu t'en douter, je suis fils de sénateur. Je dois mon éducation à un vieux maitre grec tout comme toi. Il m'a appris beacoup de choses. Néanmoins, ma curiosité ma aidé quelque peu. Je parcours d'heure en heure les bibliothèques pour me cultiver. Je prévligie l'étude à la guerre.

Buvant un coup dans sa chope, il ajouta :

Je discerne les choses différement que la plupart des gens que je fréquente. En te regardant, je t'ai jugé comme un homme instruit et brllant de surcroit. Pour ce qui est de ton éducation, j'ai tout de suite pensé à un grec. Ayant été moi meme un éleve d'un de ces hommes savants, je peux discerner les memes attitudes que les miennes tant dans tes paroles que dans tes gestes...

Tarnist buvait sa chope, absorber par les paroles de Titus.

Mais, pourquoi te promene tu ici, si tu es effectivement fils de sénateur, sans escorte de surcroit??

Titus ayant entendu les pouffements d'un soldat assis a la table en face, ne put s'empecher de remarquer l'état de cet individu et abandonna l'idée de lui mettre une raclée bien que ce ne soit pas le genre du jeune homme.

Tout au long de ma vie, on n'a pas arreté de m'associer à mon père. Etant sénateur, il bénéficie de quelques avantages. Pécunier si tu vois ce que je veux dire. La populasse ne peut s'empecher de me regarder avec envie. Mais je ne veux point que l'on m'envie pour ma richesse attribué à mon père. Je préferais me faire connaitre comme philosophe ou même artiste. Je nourris une passion pour ce qui est de la sculpture. Mais annoncer cela a mon père serait un coup bas. Je ne puis répugner si ouvertement ma lignée. Mon père me tuerait.

Et quant est il de toi jeune ami ? De quel famille es tu issu ?

Entendant les rires du gueux assis non loin d'eux, Tarnist mis sa main sur le pommeau de sa dague qu'il portait à la ceinture, mais voyant que son compagnon ne réagissait pas, il abandonnat l'idée d'attaquer.

Eh bien, je viens d'une petite famille ayant monté une petite fortune dans l'achat et la vente de tissus (non non pas juive :p). Ce qui m'a permis d'hériter d'un petit domaine, mais qui ne demande qu'à grandir.

Il finit sa bière et en commanda deux autres au tavernier, offrant l'une d'elle a Titus.

Ainsi tu ne t'orientes pas vers la guerre? Le peuple aime ce qui est nouveau, les chefs charismatiques qui proposent de nouvelles idées, mais hélas dans notre monde, à notre époque, les hommes sont rester des barbares... la guerre est vitale, ne serait-ce que pour se defendre des agrésseurs.

Titus accepta avec remerciement la bière que lui tendait Tarnist.

Je suis tout a fait d'accord avec ton opinion mais la guerre n'est qu'un moyen de diversion. Elle protège les hommes de leur stupidité. En se montrant fort, on se voit respecter. Pour bien des hommes, le respect se gagne la dague à la main mais je défends le principe que seul les hommes sages et réfléchis arriveront en fin de compte à leur but.

Surement, mais en ces temps de divisions, le pouvoir est donné aux survivants... à ceux qui élimineront tous leurs adversaires. Toutefois ta pensé n'est pas incencée, elle n'est seulement pas en acords avec le temps. Mais rien n'empeche d'avoir une armée de defense, de ce fait les adversaires ne pouvant pas te detruire, ils s'entreturont et finiront par t'oublier.

Tarnist était heureux de pouvoir parler avec quelqu'un de civilisé et d'intelligent.

Cela est exactement ce à quoi je m'obstine à faire. Défendre mon peuple des attaques ennemies. Certains, comme mon père, affirment que c'est une attitude lache que de rester derrière ses murailles... Lache peut etre mais utile et censé.

Et puis Titus rajouta en baissant la voix :

Beaucoup de soldats en quete de gloire finissent par devenir comme celui-ci : ivrogne au fond d'un bar.

Le jeune garcon désigna le légionnaire d'un regard.

Tarnist jeta un regard à l'alcoolique et ses trois acolytes

Les seigneurs sont étroits d'esprit... pour notre plus grand malheur, nous autres les hommes cultivés et savants.

Il chuchota

Cet homme ne m'inspire pas confiance, esperons qu'il n'entende pas notre conversation dans son essemble, il me semble rustre. Nous ferions mieux d'être sur nos gardes afin qu'il ne nous poignarde pas dans le dos.

Titus aprouva les paroles de son ami et rajouta :

Garde ta main à proximité de ta dague. Leur air sombre ne me plait guère...

Parlons de choses plus réjouissantes pendant que nous le guardons à l'œuil. Afin de seller definitivement notre amitié, je t'invite, un jour prochain, à venir dans mon modeste domaine. Nous y mangerons et nous detendrons avec force de nourriture et de femmes.

Boit sa biere

Shorinji et ses amis se lèvent. Shorinji dit alors au tavernier:
Tournée générale! Les plans de la ville Umbrae sont achevés, et j'invite tous ceux qui sont présent dans cette taverne à boire pour sa prospérité.
Le tavernier apporte des verres à tous le monde (dedans c'est du lait de chèvre). Les 4 se rasseoient alors et commencent à boire en discutant plus fort que précédemment.

Titus accepta avec joie le verre que lui tendait le tavernier. Il voulut remercier le légionnaire mais celui-ci était trop absorbé par sa conversation. Titus dit alors à Tarnist :

- Je te remercie Tarnist. Et c'est avec joie que j'accepte ton invitation. Je me plairais grandement à parler avec toi !

Titus leva son verre et Tarnist fit de même. Ils entrechoquerent ensemble leur boisson et buvèrent pour leur santé !

Tarnist commencait à avoir marre de rester assis

Si nous allions faire un tour en ville? Rester immobile ne me conviens pas, j'aime bouger, voir ce qui m'entoure.

Soudainement un mysterieux inconnu avec un chapeau chinois venu d'une lointaine contrée, fit apparence. Il avait une odeur de sang nauséabonde qui infestait la taverne

Je voudrais connaitre mon chemain honorable légionnaires, je suis perdu je cherche couvert et logi pour la nuit !

Titus observa le nouvel arrivant. Celui-ci s'adressait aux légionnaires. Il n'avait donc rien à faire ensemble mais le nouveau venu intriguait tout de même Titus. Il répondit à Tarnist :

Sortons mon ami. Moi aussi, je n'aime guère rester ici, assis. Suis moi et sortons.

Titus se leva suivit de Tarnist...

[Titus et Tarnist -> départ -> ruelle]